Opaline.
Elle sent le parfum de ses regrets oubliés. Cette fille opaline et moribonde. Laisse-la se noyer dans son mystère. Dévêtus. Et dépourvue. Elle frisonne sous la caresse de sa solitude ancré dans ses os. Profondeur abyssal. Suave tendresse entre ses maux qui s’entrechoquent dans la littérature de sa peine. Pour se laisser négliger par Elle. L’opaline sait comment les faire si bien danser, ses mortifications d’amour. Elle croque sa peau pour s’imprégner de son gout exquis. C’est alarmant cette sonnerie dans sa poitrine. Découpage et exploration. Il y a de la graisse flotte à la surface des trous béants à même sa chair. Mais en voilà un bien mauvais spectacle. Morbide et sans intérêt. Jetez-la cette pauvre petite. C’est une transparente. Aucun sens. Le dépotoir c’est par là…