Chimére.
La caresse de ton corps manque à mes nuits. Les longues insomnies s’éparpillent par flaque de larmes. Par(ti) de moi qui s’entend sur mes draps déjà encombrés par d’ondées pourpres. Alors je vole des instants de rêves où tu embrasserais mes sévisses de tes lèvres enchanteresse et ôterais ces croûtes encrées dans chaque miette de mon corps. Tu me rendrais belle sous tes baisers. Juste. Une chimérique seconde. Stop c’est terminé. Le réel rentre accueilli par de cascade de coups acéré sur ma peau, que tu ne toucheras jamais (plus.). Les manies reviennent toujours. Mais jamais toi…