28 juillet 2008
Folie.
Mon infinie, je ne suis rien sans toi. O douce et macabre tu me tues à chaque instant, délicieuse douleur immortel sur ma raison et mon âme. L'être sombre, le coeur meurt. J'attirais. J'aimerai. Jamais. Et puis. Silence. Beauté de la souffrance ultime sur le tableau exposé a même sa peau par ses blessures funeste. Mots. Sanglots. Vomissure par germe de larmes de honte. Froid. Gel. Glace. Transformation du temps néfaste vers le Vide. La Faille. Le Néant. L'invisible beauté du Rien qui forme la gerçure d'un corps entier.
Mon amour, ma passionnée, ma Folie.
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